nelson sacandose los mocos/nelson getting bugers
 
édito
Les images sont le résultat de la VIE Je ne considère pas que l’art soit une fin en soi-même, c’est un moyen d’expression. La parcelation de l’art est une attitude degeulase et limitant.
L’officielisme me fait vômir et les aspirants au marché de l’art me provoquent des coliques.
Dans un pays de farçants tout est possible, surtout pour ceux qui croient le conte des étiquettes, des prix, des applauses, de la critique, de l’avant-garde, et cætera. Il faut qu’on fasse une révission étique de la morale de l’individu en face d’une societé dans laquelle il y a une manque de valeurs et de leadership. Je fais appel à la soulevation intérieure des concepts ; tout est valable, si nous sommes capables de nous assumer à nous mêmes. Oser à VIVRE, sans des complascences, sans la recherche des approbations, si nous recherchons pour nous transformer en franctireurs irreverents. Il ne s’agit pas de parler sur la photographie, la sculpture, ou la peinture, nous devons assumer L’IMAGE dans sa totalité. La vision mesquin des marchands de l’art affligés à la morale petite bourgeoise, en aspirant à être les premiers de la classe, dans une attitude conservatrice et écolière, ils sont bléssés par les changements inevitables où il n’y a pas de règles prévisibles sinon des règles imprévisibles de l’imagination. Une exposition n’est pas un résultat mais une transition, je ne crois pas à l’œuvre d’art achevée, à ceux qui croient être des illuminés, ni à ceux qui sont des exquisites. Seulement un passage en tant que guerriers impeccables, peut transformer l’ordre des choses, une nouvelle morale renouvelatrice qui n’aie pas de prix, qui en soit pas en vente au meilleur achèteur. Une nouvelle esthetique qui se trouve seulement avec un nouvel ordre d’idées, hors du marché frustant et médiathique. Une des raisons essentielles de la photographie est sa capacité d’être reproduite en rompant avec le cercle de l’œuvre unique, mais de quoi il s’agit c’est de battre l’essentiel pour combattre et entrer dans un marché en perdant cette capacité reprodusible ou, au contraire, insister et démocratiser l’image pour rompre avec “L’ŒUVRE UNIQUE”.
Assez de fétichismes aberrants pour la recherche sa place dans la queue des aspirants à être admis dans la cour de courtisans prostituibles, pour aspirer à être les possibles baraganes des musées et des galeries.
“EXPOSER EST UN MOYEN, Il N’EST PAS UNE FIN EN SOI-MÊME”